Les polémiques
La Fête est à l'image de la communauté fransaskoise. Le plaisir et l'harmonie cèdent parfois le terrain à la discorde. Quelques dissensions surgissent autour de la Fête et se manifestent dans l'Eau vive. Au fil des ans, on cherche la formule magique pour avoir plusieurs participants et créer une ambiance festive. Dans l'édition du 4 août 1988, Laurier Gareau s'attriste du fait que seulement 600 personnes aient participé à la Fête. Il souhaite qu'à l'avenir les organisateurs planifient un contenu qui puisse satisfaire les festivaliers de tous âges. Il suggère aussi d'offrir une tribune plus importante aux artistes fransaskois. En 1996, Francis Potié s'interrroge sur le manque d'ambiance à la Fête. Il serait important, avance-t-il, de ne pas trop disperser les activités sur le terrain et de favoriser plutôt une formule intime. En 1989, une polémique linguistique surgit. Si certaines personnes jugent qu'on cède trop de place à l'anglais à la Fête, d'autres prêchent la tolérance et l'ouverture à la communauté anglophone francophile.
Archives
«Les «mais» de la Fête fransaskoise, «Qui ne dit mot consent», 4 août 1988
Lettre à propos de la Fête fransaskoise, 2 août 1989
«Fête fransaskoise: d'accord pour l'ouverture, mais attention aux compromis», 10 août 1988
«Pas même un bonjour», «Fête fransaskoise: gardons l'esprit ouvert», «Vivre une fin de semaine non-bilingue», «Certains jaloux veulent tout gâcher», 17 août 1988
«Éditorial : Des leçons à tirer», 8 août 1996
«Les «mais» de la Fête fransaskoise, «Qui ne dit mot consent», 4 août 1988
Lettre à propos de la Fête fransaskoise, 2 août 1989
«Fête fransaskoise: d'accord pour l'ouverture, mais attention aux compromis», 10 août 1988
«Pas même un bonjour», «Fête fransaskoise: gardons l'esprit ouvert», «Vivre une fin de semaine non-bilingue», «Certains jaloux veulent tout gâcher», 17 août 1988
«Éditorial : Des leçons à tirer», 8 août 1996