Les défis
Les organisateurs de la Fête relèvent plusieurs défis au cours des années. Robert Chabot a coordonné la Fête fransaskoise de 1989 à 1997. Sa principale préoccupation a toujours été de trouver le financement pour l'événement, qui n'était pas stable d'une année à l'autre (audio). Il rappelle la complexité du processus de demandes de subvention (audio).
Un autre défi important était le recrutement de bénévoles. Ces derniers provenaient surtout des communautés hôtes dont plusieurs abritent une population vieillissante. Plusieurs tâches attendaient les bénévoles (audio) auxquels ont longtemps prêté main forte les étudiants du programme d'immersion de l'Université de la Saskatchewan. Robert Chabot parle de cette précieuse collaboration (audio).
Un autre défi important était le recrutement de bénévoles. Ces derniers provenaient surtout des communautés hôtes dont plusieurs abritent une population vieillissante. Plusieurs tâches attendaient les bénévoles (audio) auxquels ont longtemps prêté main forte les étudiants du programme d'immersion de l'Université de la Saskatchewan. Robert Chabot parle de cette précieuse collaboration (audio).
Aussi, d'une année à l'autre, la participation fluctue sans que les artisans de la Fête arrivent toujours à comprendre pourquoi. ( Jean Liboiron (audio) et Michel Vézina (audio), respectivement directeurs généraux du CCF de 1986 à 1998 et de 2002 à 2006, y vont chacun de leurs hypothèses pour expliquer la fluctuation de la participation d'une année à l'autre. Annette Labelle, directrice générale du CCF de 1999 à 2002, cherche à comprendre le faible taux de participation des jeunes certaines années (audio)).
Les responsables ont souvent croisé les doigts pour avoir une température clémente, qui n'était pas toujours au rendez-vous. Mais jamais les caprices de dame nature ne sont venus à bout de la bonne humeur des Fransaskois. Écoutons Robert Chabot à ce sujet (audio).
Archives
«Faire du bénévolat afin de pratiquer son français», 8 août 1996
Les responsables ont souvent croisé les doigts pour avoir une température clémente, qui n'était pas toujours au rendez-vous. Mais jamais les caprices de dame nature ne sont venus à bout de la bonne humeur des Fransaskois. Écoutons Robert Chabot à ce sujet (audio).
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«Faire du bénévolat afin de pratiquer son français», 8 août 1996