À bout de souffle
Malheureusement, durant les trois dernières années, la survie de la Fête a été menacée. Un an dans l'ambiguïté et l'incertitude, c'est déjà long, deux ans c'est trop long, mais trois ans dépassent vraiment la limite. […] La prise en charge du rôle de leader de la Fête par la communauté hôte n'était qu'une solution bouche-trou (sic) […] Ces responsabilités n'auraient pas dû retomber sur les communautés hôtes, mais sur l'ensemble de la communauté fransaskoise qui, après tout, est la vraie responsable de cette fête.
Si monsieur Potié est heureux que l'ACF ait décidé de « prendre le taureau par les cornes » et de se pencher sur les problèmes qui menacent l'existence de la Fête, il ajoute : « Toutes les politiques de financement et les luttes de pouvoir qui se sont jouées autour de la Fête durant les dernières années ne contribuent en rien à sa stabilité et à son succès. Éloignons-nous de ce danger : une structure plus neutre serait préférable ». L'idée d'incorporer la Fête est désormais lancée.
Commentaires des acteurs impliqués
Philippe Potié, président du comité organisateur de la Fête de Zenon Park en 2000, explique la scission entre leur comité et le CCF.
Philippe Potié ajoute que le CCF ne s'est pas complètement retiré de l'organisation
Archives
«Zénon Park accepte l'entière responsabilité de la Fête fransaskoise», 16 mars 2000
«Direction Zénon: Un village tout en fête», 10 août 2000
«Session sur l'avenir de la Fête fransaskoise», 18 janvier 2001
Commentaires des acteurs impliqués
Philippe Potié, président du comité organisateur de la Fête de Zenon Park en 2000, explique la scission entre leur comité et le CCF.
(1581ko) |
Philippe Potié ajoute que le CCF ne s'est pas complètement retiré de l'organisation
(1533ko) |
Archives
«Zénon Park accepte l'entière responsabilité de la Fête fransaskoise», 16 mars 2000
«Direction Zénon: Un village tout en fête», 10 août 2000
«Session sur l'avenir de la Fête fransaskoise», 18 janvier 2001